Troncs célestes

et

Rameaux terrestres

( Viêt Nam )



Patrick Fermi

Image classique du coq

 

 

 

 

troncs célestes et rameaux terrestres

 

1 - Le système Can-Chi : Thiên Can ĐỊa Chi : 天干地支

À l'instar du calendrier chinois, le calendrier traditionnel vietnamien est fondé sur un cycle sexagésimal (60 ans) résultat d'associations entre 10 troncs célestes et 12 rameaux terrestres. Par commodité, on parle du système Can-Chi, condensé de Thiên Can Địa Chi, forme sino-vietnamienne de 天干地支. Aujourd'hui, cette forme est quelquefois remplacée par Thập Can Thập Nhị Chi, littéralement 10 troncs 12 rameaux. Le temps du cycle duodénaire des rameaux, soit d'une série de 12 animaux, est appelé giáp.

L'origine de ce calendrier est incertaine mais il est attesté durant la dynastie Shāng ( 商朝 15-10 siècles av. J.-C.). Bien sûr, il ne se présentait pas sous la forme actuelle et si l'on se réfère aux premiers signes connus, ils ont à voir avec la divination (surtout ostéomancie) et/ou avec des commémorations ( cultes ? ) à des ancêtres. La fonction de calendrier visant à ordonner l'ensemble des manifestations cycliques semble émerger de ce fonds. L'association des animaux aux rameaux terrestres est encore plus tardive, d'autant que plusieurs séries zoaires différentes se sont succédées. Il en est de même pour les liaisons entre troncs célestes et les cinq éléments, ngũ hành [ zn wǔxíng, 五行 ]. en savoir plus

Ces troncs et ces rameaux n'ont qu'une existence théorique. Ils sont le produit complexe d'observations astronomiques, de quelques faits empiriques, de cosmogonie et de la nécessité psychique de mettre de l'ordre et du sens devant les données du réel. Il en est du même processus qui a conduit à imaginer le Zodiaque dont nous sommes plus familiers. Il est composé de constellations dont les existences ne sont que virtuelles puisque nées de processus perceptifs subjectifs même si les étoiles et les galaxies qui en constituent les « points » sont bien des « objets » réels [1].

Cependant il ne faut pas penser que ces arbitraires des signes et des symboles soient sans intérêt ; bien au contraire, ils ont servi de repères tangibles et efficaces pour ordonner, « domestiquer » le monde, le temps, les saisons etc. Ils ont servi pendant « des siècles et des siècles » les besoins et les intérêts des agriculteurs, des nomades, des marins et des savants. Encore ne faut-il pas seulement parler du passé car aujourd'hui encore beaucoup de pays asiatiques utilisent les signes des troncs célestes comme organisateurs ou classificateurs ; par exemple les différentes parties de documents officiels, les évaluations scolaires, des repères en chimie, les divisions des championnats sportifs, etc. L'arbitraire et l'imaginaire que nous avons pointés sont tout autant présents dans les écritures des lettres et des chiffres ou dans les sons des langues or, personne n'irait valablement contester les avantages de tels systèmes. Ajoutons que l'astronomie chinoise était la première à utiliser le pôle et le plan équatoriaux célestes, ce qui est aujourd'hui devenu le modèle universel.

 

alignement des rameaux et des troncsLe début d'un cycle est l'association du premier rameau terrestre (figuré par le rat) [2] et du premier des troncs célestes (figuré par un des 2 états possibles d'un élément - eau pour les Vietnamiens, bois pour les Chinois). Si l'on convient de nommer les rameaux par des lettres et les troncs par des chiffres, la première année d'un cycle est toujours A1, la seconde B2, etc.. La dernière année de la première phase sera nécessairement celle de L2, L étant la douzième lettre et les chiffres ayant déjà fini leur phase de 10. La seconde phase du cycle sera donc A3 et si l'on poursuivait ainsi la troisième phase débuterait par A5. Par ces processus, nous retrouverions A1 60 ans plus tard - 60 étant le « ppcm », et non 120 comme beaucoup le croit spontanément.

Depuis 1984, nous sommes entrés dans le 78ème cycle après le début du comput (2637 av.-J.C.), cycle qui s'achèvera en 2044. Quelques-uns contestent ces chiffres à 1 ou 2 unités près argumentant de décalages accumulés entre différents calendriers. Cette question n'est pas vraiment cruciale car de toutes les façons tous les calendriers ont été « manipulés » au cours de l'histoire, souvent pour des raisons politiques, quelquefois pour des raisons de progrès astronomiques. Pour des facilités d'exposition, nous inverserons ici la présentation en voyant d'abord les rameaux terrestres et ensuite les troncs célestes.

2 - les 12 rameaux terrestres

Chacun d'eux possède un nom spécifique et cela dans chacune des langues asiatiques des cultures qui s'y réfèrent mais :

  • Ces caractères sont identiques pour les Vietnamiens qui les ont intégrés comme caractères hán việt [3] et donc, ne les prononcent pas comme les Chinois.

  • Ces caractères, hors du contexte calendrier, signifient d'autres choses et celles-ci n'ont rien à voir directement avec ces rameaux. Exemple : pour 2005, nous étions au dixième rameau qui s'écrit 酉. Ce signe veut habituellement dire amphore et n'a rien à voir avec le coq. [actualisation 2015 : huitième rameau, 未, mùi, année de la chèvre ( ou mouton) alors que ce caractère signifie « pas encore »].

 

123456789101112

 卯

Ces caractères sont écrits en pinyin et prononcés en chinois comme ci-dessous :

Chǒu

Yín

Mǎo

Chén

Wèi

Shēn

Yǒu

Hài

rat

buffle

tigre

lapin

dragon

serpent

cheval

mouton

singe

coq

chien

cochon

Correspondances en français :   ( ! ils n'en sont pas une traduction ! )

rat

buffle

tigre

chat

dragon

serpent

cheval

chèvre

singe

coq

chien

cochon

Caractères écrits en quốc ngữ :

SủuDầnMẹoThìnTịNgọMùiThânDậuTuấtHợi

2a - Différences entre les listes d'animaux chinois et vietnamiennes

Les différences dans les listes d’animaux concernent le lapin vs chat, le mouton vs chèvre et parfois le coq vs poule. Pour les deux dernières, les différences semblent liées aux particularités des langues et aux aléas des traductions. Ainsi les termes chinois et vietnamiens utilisés sont des génériques. C’est l’adjonction d’un autre terme qui fait la précision. Quelques exemples : gà ( ou jī en chinois) signifient poule, coq, poulet etc. mais gà mái, gà trống, gà lôi mái sont respectivement la poule, le coq, la poule faisane. Il en est de même pour thỏ - lapin et thỏ rừng - lièvre. Le sinogramme, (yáng) génère de la même façon mouton, bélier, chèvre, antilope, chamois, etc. Le choix de tel ou tel animal dépend du système âm et dương, féminin, masculin, sauvage et domestique etc. Il serait cohérent que ce soit plutôt le coq que la poule, la chèvre que le mouton, le lièvre que le lapin mais on ne peut cacher qu’il existe plusieurs courants d’interprétations. La différence lapin vs chat est spécifiquement vietnamienne et vraisemblablement tardive. Je n’en connais pas d’explications satisfaisantes. Il n’est pas improbable que la contigüité phonétique entre māo (pinyin) et mão ou mẹo (chat) soit une des origines de ce glissement de sens ou peut-être une opportunité de distinction culturelle.

3 - Les troncs célestes

Attention ! Les remarques orthographiques et phonétiques que nous venons de faire pour les 12 rameaux terrestres sont complètement applicables aux 10 troncs célestes. En 2005, nous sommes au second tronc céleste qui s'écrit 乙, et hors de ce contexte signifie faucille.

Les troncs célestes sont à la fois associés au cycle yīn -yáng [ 阴 阳 ] (âm et dương en VN) et à la théorie des 5 éléments ou plus justement des cinq agents : le bois, l'eau, la terre, le métal, le feu.

 

12345678910

Caractères écrits en pinyin (chinois)

jiǎbǐngdīnggēngxīnrénguǐ

Associations des caractères avec le cycle yīn -yáng et la théorie des 5 éléments :

boisfeuterremétaleau
+-+-+-+-+-

Caractères écrits en quốc ngữ :

giápấtbínhđinhmậukỷcanhtânnhâmqúi
-- mais les associations vietnamiennes sont différentes des chinoises !! --
eaufeuboismétalterre
naturelleà usageallumélatentgénéralallumégénéralfaçonnéincultecultivé

 

La compréhension de ce tableau n'est pas évidente au premier regard. D'une part, parce que chaque élément est positif et négatif, d'autre part, l'ordre des éléments chinois et vietnamiens est différent. Pour surmonter ces difficultés nous nous arrêterons d'abord sur la théorie des cinq éléments avant de revenir sur la question de la différence des ordres chinois et vietnamiens.

3a - la théorie des cinq éléments (agents)

Faisons un détour historique. Les cinq éléments (wǔxíng, 五行) apparaissent d’abord dans le Livre des Documents (shūjīng) vers le IVe siècle av. J.-C. La première mention se présente ainsi :

« Les cinq agents sont : eau, feu, bois, métal, terre. Il est dans la nature de l’eau d’humidifier et de couler vers le bas ; dans celle du feu de brûler et de s’élever dans les airs; d’en celle du bois d’être courbé et redressé; dans celle du métal d’être ductile et d’accepter la forme qu’on lui donne; dans celle de la terre de se prêter à la culture et à la moisson. » [4]

Un ou deux siècles plus tard, notamment sous l’influence du penseur Zōu Yǎn, le wǔxíng est associé aux souffles primordiaux, le yīn et le yáng, et la notion de cinq agents s’élargit à celle de cinq phases devenant cycle de conquête, précédant selon toute vraisemblance la notion de cycle d’engendrement. Les combinaisons avec les saisons, les points cardinaux, les dynasties, etc. contribueront à achever ces tableaux de correspondances donnés aujourd’hui comme surgissant d’une antique sagesse alors qu’ils sont le résultat d’influences diverses étalées sur plusieurs siècles. Ces cycles sont figurés ci-dessous avec une formule classique facilitant la mémorisation.

cycles des 5 agents

« L’eau donne naissance au bois mais elle détruit le feu ; le feu donne naissance à la terre mais il détruit le métal ; le métal donne naissance à l’eau mais il détruit le bois ; le bois donne naissance au feu mais il détruit la terre ; la terre donne naissance au métal mais elle détruit l’eau. »

Les éléments de cette citation sont écrits avec leurs couleurs attribuées. Selon les contextes, naissance et domination sont appelées engendrement et destruction.

On comprend qu'il ne s'agit pas d'éléments au sens de ceux de la théorie des éléments (rhizomata) d'Héraclite et surtout d'Empédocle ou, pour le dire autrement, au sens de constituants d'un objet composite. Dans l'expression chinoise wǔxíng, 五行 est simplement 5 mais xíng est plus complexe. Cela veut dire « marcher » et dans un sens plus général renvoie à des actions. Par exemple en association d'autres mots, on traduit 奉行: fèngxíng comme « poursuivre », 执行: zhíxíng comme « appliquer, exécuter », 实行 shíxíng comme « mettre en œuvre, appliquer, exécuter ». On pourrait multiplier les exemples mais on y retrouverait toujours de l'action, de l'agir, c'est à dire un aspect dynamique absent de la traduction par éléments.

taijiCe dynamisme est encore renforcé par le lien avec la doctrine du yīn –yáng, 陰-陽, traduite en vietnamien par triết lý âm dương, dont la figuration, thái cực đồ, est devenue commune. De cette association, chaque agent (élément) est successivement positif (dương) et négatif (âm). Ainsi (5 x 2) permet la correspondance avec les 10 troncs célestes.

S'il y a un vrai consensus sur les attributs et les relations réciproques de ces éléments, les difficultés surviennent lorsqu'il s'agit de les ordonner linéairement avec les troncs célestes.

3b - Différences entre l'ordre des éléments chinois et vietnamiens

Généralement ces cinq « agents doubles » sont présentés dans une configuration circulaire pour en illustrer la dimension cyclique mais il faut bien malgré tout s’entendre sur un début et une fin. La situation est la même que celle du cadran d’une horloge où l’on a convenu que le 12 est la fin d’un jour et le 0 du jour à venir. Et c’est là, comme le dit l’expression, que « les choses se gâtent ». En effet, l’ordre vietnamien (eau, feu, bois, métal, terre) est différent de l’ordre chinois (bois, feu, terre, métal, eau).

Si nous comparons les combinaisons possibles, il apparaît que l’ordre vietnamien correspond à la séquence la plus ancienne - celle décrite dans le Livre des Documents (shūjīng) - alors que la suite chinoise est identique au cycle d’engendrement, nettement plus tardif ; un peu comme si les Vietnamiens étaient restés fidèles à la tradition la plus ancienne. On peut ainsi comprendre ce commentaire du vietnamologue Paul Pezner :

 « La première association appartient à l’école philosophique de Lumière et Obscurité (Yin-Yang) et la deuxième à la partie cosmologique de l’école confucéenne de Tong Tchong-chou. Ainsi, au XIXe siècle les Vietnamiens se servaient d’un système d’association plus ancien que les Chinois, qui ont adopté le système du IIe siècle avant notre ère. Cela prouve d’une manière indirecte que le confucianisme des Han n’avait jamais été admis au Viêt-Nam. » [5]

Il est vrai que l’histoire des principaux calendriers montre sans équivoque les influences profondes des relations de pouvoir – politique, religieux et plus globalement idéologique – sur les données astronomiques les plus scientifiques ou jugées comme telles. Il n'est pas improbable que des travaux sur la complexité du corpus philosophique et divinatoire, que de nouvelles recherches historiques ou linguistiques permettent un jour d’imaginer des hypothèses originales. La question du décalage n’est pas close.

calendrier vietnamien de 2008 à 2019

Troncs célestes - Can - fin de cycle en 20132014 : début d'un nouveau cycle des troncs célestes
5678910123456
bois +bois -métal +métal -terre +terre -eau +eau -feu +feu -bois +bois -
mậukỷcanhtânnhâmquýgiápấtbínhđinhmậukỷ
sủudầnmẹothìntỵngọmùithândậutuấthợi
ratbuffletigrechatdragonserpentchevalchèvresingecoqchiencochon
123456789101112
Rameaux terrestres - Chi
Concordances vietnamiennes contemporaines des Can  Chi --- 干支

 

Peut-être sous l'influence d'une sorte de mondialisation de ce calendrier, et donc d'une traduction en différentes langues, on assiste actuellement à une tendance médiatique substituant les termes d'animaux usuels aux termes classiques du calendrier. Pour clarifier cette confusion possible le tableau ci-dessous établit les correspondances terminologiques pour le vietnamien.

 

chi nom usuelchi nom usuel
ratchuột - (rat --cống /souris --nhắt)ngọchevalngựa
sửubuffletrâumùichèvredê - (cừu si mouton)
dầntigrehổ - cọpthânsingekhỉ
mẹo/mãochatmèo - (thỏ si lapin chinois)dậucoq
thìndragonrồng / long (+littéraire)tuấtchienchó
tỵ / tịserpentrắnhợicochonlợn

 

(sim) supplément chinois

correspondances entre les troncs célestes et les animaux associés dans la terminologie commune
shǔniúlóng shé yáng hóu gǒu zhū
ratbuffletigrelapindragonserpentchevalchèvresingecoqchiencochon

 


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Notes


Fig.1 de L'astrologie - Paul Couderc - coll. Que-Sais-Je? [1] Avec quelque tolérance on peut concéder que les alignements dont Antarès est au centre pourraient constituer un Scorpion. C'est déjà plusdifficile avec l'Ourse et des plus arbitraires avec la Vierge. Les personnes non averties en astronomie doivent aussi savoir que les points reliés représentent bien des étoiles mais celles-ci ne sont pas situées dans un plan plat mais dans un plan tridimensionnel (un volume). Elles ne sont donc pas à la même distance de notre œil. Si nous pouvions les observer en changeant de position, ces formes disparaitraient mais l'a montré la psychologie des perceptions, nous en reconstruirons bien vite de nouvelles. Ces processus interviennent aussi dans certains tests projectifs comme celui Rorschach utilisé en psychologie clinique. - retour -

[2] Une légende plus tardive que les calendriers raconte que l'ordre des animaux a dépendu de leur ordre d'arrivée devant le Bouddha. La primauté du rat reviendrait à sa ruse : il aurait sauté sur le dos du buffle puis devant ce dernier sur la « ligne d'arrivée ». Le flegmatisme du cochon expliquerait sa dernière place. - retour -

[3] Les caractères hán việt sont les caractères chinois intégrés tels quels par les Vietnamiens. Voir notre page sur l'écriture vietnamienne. - retour -

[4] Traduit par Anne Cheng, Histoire de la pensée chinoise, Seuil, 1997, p. 44
Ce passage se trouve dans un chapitre (洪範) du Shūjīng - 書經 , traduit comme Classique des Documents. Il est aussi connu sous le nom de Shàng Shū - 尚書, Documents des Anciens :
一、五行:一曰水,二曰火,三曰木,四曰金,五曰土。水曰潤下,火曰炎上,木曰曲直,金曰從革,土爰稼穡。 - retour

[5] Paul Pozner, « Le problème des chroniques vietnamiennes, origine et influences étrangères », dans le Bulletin de l’École française d’Extrême-Orient, Tome 67, 1980, p. 275-302.
On pourra aussi se référer à Trần Ngọc Thêm, Recherche sur l’identité de la culture vietnamienne, Thế Giới, Hà Nội, 2008. Cet auteur expose en détail la structure du temps vietnamien mais, au-delà de ses qualités indiscutables, peut-être a-t-il lui aussi tendance à favoriser les interprétations amendant l’importance de l’influence chinoise. - retour -

 

 

 Références pour en savoir plus      (toutes ces références sont accessibles sur Internet) - retour -

 

Description claire et dimensions astronomiques :

Le calendrier traditionnel chinois de Rocher Patrick, Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides, Observatoire de Paris - fichier PDF en ligne.

Dimensions historiques et sinologie :

Smith Adam Daniel, The Chinese Sexagenary Cycle and the Ritual Origins of the Calendar, in Calendars and Years II: Astronomy and Time in the Ancient and Medieval World, edited by John M. Steele. Oxford: Oxbow Books, 2010

Divination et rationalité en Chine ancienne, sous la dir. Chemla K., Harper D., Kalinowski M., dans Extrême-Orient, Extrême-Occident, N°21,1999

Chavannes Édouard, Le calendrier des Yn, Journal Asiatique, Novembre-décembre 1890, pages 463-510

Enjoy d' Paul, Le Calendrier chinois, dans Bulletins de la Société d'anthropologie de Paris, IV° Série, tome 7, 1896. pp. 562-577

Saussure (de) Léopold, Les origines de l'astronomie chinoise, série de douze articles publiés dans le T'oung Pao de 1909 à 1922 -- dont : Le cycle des douze animaux et le symbolisme cosmologique des Chinois - 1920

Saussure (de) Léopold, Le système cosmologique des Chinois, Revue générale des Sciences, 30 décembre 1921, p. 734-35

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© - Fermi Patrick - 17 septembre 98.spacerevu le mercredi 07 janvier 2015